
Cette femme ou fée des romans de chevalerie se distinguait par sa grande beauté. Elle est promise en mariage à Raimondin pourvu qu’il accepte de ne jamais la voir le samedi.
Une fois mariés, ce dernier est rongé par une jalousie maladive, ne sachant ce que fait son épouse le samedi.
Alors qu’un samedi elle s'est réfugiée dans sa chambre, il regarde par le trou de la serrure et la découvre dans son bain, à moitié femme, à moitié serpent.
Se sentant trahie, elle s’enfuit, laissant son mari dans la plus grande douleur.
Cette légende, qui rappelle le mythe d’Eros et de Psyché, symbolise le meurtre de l’amour par le manque de confiance, ou par le refus de respecter dans l’être aimé sa part de secret.
Une fois mariés, ce dernier est rongé par une jalousie maladive, ne sachant ce que fait son épouse le samedi.
Alors qu’un samedi elle s'est réfugiée dans sa chambre, il regarde par le trou de la serrure et la découvre dans son bain, à moitié femme, à moitié serpent.
Se sentant trahie, elle s’enfuit, laissant son mari dans la plus grande douleur.
Cette légende, qui rappelle le mythe d’Eros et de Psyché, symbolise le meurtre de l’amour par le manque de confiance, ou par le refus de respecter dans l’être aimé sa part de secret.
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