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jeudi 10 mai 2007

Médée


Médée signifie « la rusée », nom qui convient parfaitement à cette princesse versée dans l’art de la magie.
Elle se situait, pour les Grecs, à mi-chemin entre la sorcière et la déesse.
Médée tomba amoureuse du héros thessalien Jason dès qu’il débarqua en Colchide avec les argonautes et l’aida à s’emparer de la Toison d’or, objet de leur expédition.
Dans leur fuite, Médée n’hésita pas à sacrifier son frère pour ralentir la flotte de son père Aeétès (roi de Colchide) lancée à leur poursuite.
Puis Jason répudia Médée pour pouvoir épouser Glaucé, une princesse de Thèbes.
La vengeance de Médée fut terrible : Glaucé brûla vive en enfilant sa robe de mariée empoisonnée et Médée veilla à ce que ses propres enfants qu’elle avait eus de Jason périssent eux aussi.
Puis elle s’enfuit à Athènes dans le char magique dont on dit qu’il appartenait à son grand-père Helios, le dieu soleil.
A Athènes, Médée épousa le roi Egée, et lui donna un fils, Médos.
Egée avait déjà un fils, le héros Thésée, mais il en ignorait l’existence ; l’astucieuse Médée persuada Egée d’éloigner Thésée (afin qu’il ne revendique pas son droit à la succession) en l’envoyant à Marathon y dompter le terrible taureau.

(Arthur Cotterell & Rachel Storm).

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